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L'inondation

 

Il existe de nombreuses preuves en faveur de l'historicité du déluge dans la nature et la tradition humaine. Apprenez combien de preuves il y a

 

 

1. Preuve du déluge
2. La naissance du carbone et du pétrole
3. La dévastation des dinosaures
 

1. Preuve du déluge

 

 

Le déluge a souvent été considéré comme une simple fable. Surtout ces gens, qui croient en la théorie de l'évolution, ne croient pas que le Déluge ait jamais eu lieu. Ils pensent qu'il est impossible que l'eau ait autrefois recouvert toute la terre. 

   Mais le déluge a-t-il vraiment eu lieu ? Si nous faisons des observations pratiques du sol, des fossiles et des traditions humaines, elles se réfèrent au Déluge. Ils montrent que la grande destruction massive s'est déjà produite sur Terre. Dans ce qui suit, nous examinerons sous forme de liste les preuves qui suggèrent cet énorme désastre.

 

Les charniers d'animaux

                                                           

• On a estimé qu'il y a environ 800 milliards de vertébrés squelettiques enterrés dans la région de Karroo en Afrique du Sud (article de Robert Broom dans Science, janvier 1959). La grande taille de ce site funéraire suggère qu'un événement non naturel s'est produit. Les animaux ont dû être enterrés très rapidement. Généralement, ce genre d'événement s'explique mieux par une destruction massive telle que le déluge, qui peut rapidement empiler des couches de terre au-dessus des animaux.

 

• Le pergélisol d'Alaska et de Sibérie contient des millions de tonnes d'ossements d'animaux. De manière significative, plusieurs de ces animaux étaient de grands mammifères qui n'auraient pas pu survivre dans des conditions froides et n'auraient pas pu s'enterrer. La description du livre Maailman Luonto en parle. Il montre comment ces grands animaux ont été trouvés profondément dans le sol avec une végétation différente :

 

Ce qui est particulièrement intéressant ici, c'est le fait que le pergélisol en Alaska et en Sibérie peut contenir des quantités notables d'os et de viande, ainsi que de la végétation à moitié pourrie et d'autres restes du monde organique. Dans certains endroits, ceux-ci s'ajoutent à une partie notable du sol. Une partie considérable des restes proviennent de grands animaux, tels que les rhinocéros poilus, les lions géants, les castors, les buffles, les muscs, les bœufs, les mammouths et les éléphants poilus, qui ont disparu… C'est pourquoi il est clair que le climat en Alaska était beaucoup plus chaud avant qu'il ne gèle.

 

• Les restes de rhinocéros, de chameaux, de sangliers et d'innombrables autres animaux trouvés à Agate Spring, dans le Nebraska, sont la preuve de grandes fosses communes. Selon les estimations des experts, il y a des restes de plus de 9 000 grands animaux dans la région.

 

• En 1845, des restes d'animaux ont été fouillés près d'Odessa en Russie, qui comprenaient les os de plus de 100 ours, ainsi que de nombreux os de chevaux, ours, mammouths, rhinocéros, bisons, élans, loups, hyènes, divers insectivores, rongeurs, loutres, martres et renards. Ceux-ci étaient mélangés à l'envers avec des restes de plantes, des oiseaux et même avec des poissons (!). La présence de poissons parmi les animaux terrestres semble être une référence claire au Déluge. Comment les poissons peuvent-ils être dans la même strate que les animaux terrestres ?

 

• Des collines contenant un grand nombre d'os d'hippopotame ont été découvertes à Palerme, en Italie. Puisqu'il y a aussi des os de jeunes hippopotames parmi les découvertes, ils ne pourraient pas être morts de manière naturelle. La présence de ces jeunes hippopotames indique clairement le Déluge.

 

• Des découvertes dans des grottes ont été faites, par exemple, dans le Yorkshire en Angleterre, en Chine, sur la côte est des États-Unis et en Alaska, où les squelettes de dizaines d'herbivores et de mangeurs d'animaux différents ont été trouvés dans les mêmes grottes. Dans le Yorkshire, en Angleterre, des ossements d'un éléphant, d'un rhinocéros, d'un hippopotame, d'un cheval, d'un cerf, d'un tigre, d'un ours, d'un loup, d'un cheval, d'un renard, d'un lièvre, d'un lapin, ainsi que de nombreux oiseaux ont été retrouvés dans l'une des grottes de stalactites. En règle générale, ces animaux qui se mangent ne resteraient en aucun cas les uns avec les autres.

 

• Une autre grande tombe se trouve en France, où plus de 10 000 restes de squelettes de chevaux ont été trouvés.

 

• Des découvertes dans de vastes cimetières de dinosaures ont également été faites. Les ossements de plusieurs centaines, voire de milliers de petits dinosaures ont été retrouvés en Belgique dans un gisement d'argile à environ 300 mètres de profondeur. Les ossements de quelque 10 000 lézards canards ont été découverts dans une petite zone du Montana, aux États-Unis, et des fosses communes à cent têtes de lézards rhinocéros ont été découvertes en Alberta, au Canada. En outre, d'autres découvertes de tombes plus petites liées aux dinosaures ont été faites dans différentes parties du monde. Il est probable que ces animaux aient été complices de la même destruction qui s'est abattue sur le monde au même moment.

   Un exemple apparaît également dans le livre The Age of Dinosaur du célèbre scientifique évolutionniste Björn Kurten. Il mentionne comment plusieurs fossiles de dinosaures ont été trouvés dans une position de nage avec la tête tournée vers l'arrière, comme dans une lutte à mort.

 

Fossiles de troncs d'arbres, dont beaucoup sont mélangés et à l'envers . Auparavant, il a été indiqué comment des fossiles de troncs d'arbres ont été trouvés dans différentes parties du monde, qui sont situés à l'intérieur de la terre et s'étendent à travers plusieurs strates différentes. Très souvent, ces troncs et bûches ne sont qu'un gros gâchis empilé avec de la boue, des os et de la boue. Leurs racines pourraient également être à l'envers, ce qui est la preuve d'un événement dévastateur. Pour que les fossiles de troncs d'arbres soient nés et préservés, ils doivent avoir été enfouis très rapidement dans les couches de sol qui les entourent - sinon il n'en resterait plus de fossiles.

 

L'origine des fossiles . Les fossiles dans le sol sont des preuves puissantes du déluge. L'origine des fossiles dans le sol ne peut s'expliquer que par le fait que les coulées de boue ont enseveli très rapidement des plantes et des animaux vivants ou récemment morts. Si cela ne s'était pas produit rapidement, les fossiles n'auraient pas pu se former, car sinon les bactéries et les charognards les auraient décomposés en peu de temps. Il est à noter que de nos jours, les fossiles ne se forment pas. Le célèbre explorateur Nordenskiöld a remarqué qu'il est plus facile de trouver d'anciens restes de lézards gigantesques au Spitzberg que ceux de phoques récemment enterrés, même s'il y a des millions de phoques dans cette région.

    Par conséquent, c'est un énorme problème d'essayer d'expliquer comment de grands animaux tels que des mammouths, des dinosaures, des rhinocéros, des hippopotames, des chevaux et d'autres grands animaux ont pu être ensevelis sous la boue et les couches de la terre si l'on ne croit pas au Déluge. Les mammouths à eux seuls sont estimés à environ 5 millions d'individus enfouis dans le sol. Dans les conditions actuelles, ces animaux ne seraient pas enfouis dans le sol, mais pourriraient rapidement sur le sol ou les charognards les mangeraient immédiatement. La description suivante (James D. Dana : "Manual of Geology", p. 141) montre à quel point un enfouissement rapide est nécessaire à la fossilisation :

 

Les animaux vertébrés, tels que les poissons, les reptiles, etc., se décomposent lorsque leurs parties molles sont retirées. Ils doivent être enterrés rapidement après leur mort pour éviter de se décomposer et d'être mangés par d'autres animaux.

 

ENTERRÉ VIVANT . Plusieurs fossiles fournissent des preuves très claires du fait qu'ils ont été enterrés rapidement.

    En plus de l'enterrement rapide, il existe un certain nombre de preuves que les animaux étaient encore vivants au moment de leur enterrement. Voici quelques exemples:

 

Fossiles de poissons. Un grand nombre de fossiles de poissons ont été trouvés avec des signes d'avoir été enterrés vivants et rapidement.

   Tout d'abord, des fossiles de poissons ont été trouvés qui avaient un repas en cours : ils avaient un autre poisson plus petit dans la bouche lorsqu'ils ont été soudainement ensevelis sous de grandes masses de terre. En d'autres termes, si un poisson mange son repas, il ne connaît pas une mort normale, mais a vécu une vie normale jusqu'à ce qu'il ait connu un enterrement rapide.

    Deuxièmement, un grand nombre de fossiles de poissons ont été trouvés avec toutes les écailles en place, la bouche ouverte et toutes les nageoires déployées. Chaque fois que de telles marques sont trouvées sur des poissons, elles indiquent qu'ils devaient être encore en vie et se battre contre leur destin jusqu'à ce qu'ils soient soudainement enterrés. Lors d'une inondation, un enfouissement aussi rapide sous la boue serait le moyen le plus probable pour les poissons de mourir. Par exemple, environ 9/10 des poissons cuirassés trouvés dans d'anciens gisements de grès rouge sont dans une telle position - ils ont dressé leurs deux cornes perpendiculairement à la plaque osseuse de leur tête en signe de danger - ce qui montre qu'ils ont éprouvé un enterrement rapide.

    De plus, les fossiles de poissons ne peuvent pas se former autrement - sauf de la manière mentionnée précédemment - car dans des conditions normales, les poissons se décomposent très rapidement ou sont mangés par d'autres animaux. Cependant, dans les sites d'enfouissement de poissons, des millions de ces fossiles de poissons peuvent être trouvés.

 

Moules bivalves et huîtres. Des moules bivalves et des huîtres ont été trouvées en position fermée, indiquant qu'elles ont été enterrées vivantes. Habituellement, lorsque ces animaux meurent, le muscle qui maintient leurs coquilles fermées se détend, permettant au sable et à l'argile de pénétrer. Ces fossiles, cependant, se trouvent généralement bien fermés et il n'y a pas de sable ou d'argile entre les coquilles. Comme ces coquilles sont bien fermées, cela indique que ces animaux ont été enterrés alors qu'ils étaient encore vivants.

 

Mammouths. Avec de nombreux autres animaux, de grandes découvertes de mammouths ont été faites. On estime qu'il y aurait jusqu'à 5 millions de mammouths enterrés dans le sol. Leurs restes, principalement des défenses, ont été extraits du sol en tonnes, et ils ont même été utilisés comme matière première pour l'industrie de l'ivoire, nous ne pouvons donc pas parler d'une petite quantité trouvée.

    Ce qui est remarquable à propos de ces découvertes de mammouths, c'est que les mammouths ont été retrouvés conservés en très bon état. Certains d'entre eux ont été retrouvés debout (!), d'autres avaient encore de la nourriture non digérée dans la bouche et l'estomac. De plus, certains ont été retrouvés complètement intacts et non endommagés.

    Lorsque de telles découvertes sont faites sur de vastes zones, cela montre qu'ils n'ont pas été tués lors d'une inondation printanière localisée, par une mort lente due à la famine, ou par une mort ordinaire comme cela a été expliqué. Aucun uniformitarisme ne peut expliquer la mort simultanée et violente de centaines de milliers d'animaux et comment ils ont été enterrés dans des couches de limon et de terre. Dans le déluge, cela pourrait arriver.

 

CRÉATURES MARINES ET PARTIES DE CELLES-CI TROUVÉES SUR LES MONTAGNES ET LES TERRES SÈCHES .

 

- (Gn 7:19) Et les eaux s'abattirent extrêmement sur la terre; et toutes les hautes collines qui étaient sous tout le ciel furent couvertes.

 

- (2 Pierre 3:6) … Par lequel le monde qui était alors, étant inondé d'eau, a péri

 

Peut-être que la meilleure preuve d'un déluge mondial est le fait que nous pouvons trouver des restes de créatures marines sur les montagnes et les terres arides. (Des exemples similaires peuvent être trouvés dans les émissions sur la nature à la télévision.) Ces vestiges ne pourraient certainement pas exister à leur emplacement actuel si la mer n'avait pas à un moment donné recouvert ces zones.

 

• 500 ans avant le début du calendrier moderne, Pythagore a trouvé des restes de créatures marines sur les montagnes. (p.11 Planetetta maa ("Planète Terre")).

 

• Cent ans plus tard, l'historien grec Hérodote écrivit que les coquillages étaient ramassés dans le désert d'Égypte. Il a conclu que la mer devait avoir atteint le désert (p. 11 "Planeetta maa"). Des restes de grands animaux marins ont également été trouvés dans les grands déserts de sable d'Afrique.

 

• Xenofanes a trouvé des fossiles marins dans des zones intérieures éloignées de la mer vers 500 av. J.-C. Il a également trouvé des fossiles de poissons dans une carrière à Syracuse en Sicile, à Malte et sur le continent italien. Il a conclu que ces zones avaient été auparavant couvertes par la mer (p. 17 Nils Edelman - Viisaita ja veijareita geologian maailmassa).

 

• Charles Darwin a également rencontré des restes marins lorsqu'il a trouvé un squelette de baleine dans les régions montagneuses du Pérou.

 

• Albaro Alonzo Barba, qui était directeur minier à Petos, mentionne dans son livre écrit en 1640, qu'il avait trouvé d'étranges coquillages dans des rochers entre Potos et Oroneste en Bolivie, à 3 000 mètres d'altitude (p. 54 Nils Edelman : Viisaita ja escrocs du monde de la géologie)

 

• L'Allemand PS Pallas dans les années 1700 a trouvé du calcaire stratifié et des ardoises argileuses dans les montagnes de l'Oural et de l'Altaï – tous deux en Russie – qui contenaient des restes d'animaux et de plantes marins (p. 125 Nils Edelman : Viisaita ja veijareita geologian maailmassa) .

 

• De nombreux organismes marins tels que les moules, les ammonites, les bélemnites (les ammonites et les bélemnites vivaient en même temps que les dinosaures) , les poissons osseux, les nénuphars, les fossiles de corail et de plancton et les parents des oursins et étoiles de mer actuels ont été trouvés à plusieurs kilomètres au-dessus de la mer niveau dans l'Himalaya. Le livre Maapallo Ihmeiden Planeetta ( p. 55) décrit ces restes de la manière suivante :

 

Harutaka Sakai de l'Université japonaise de Kyushu a étudié pendant de nombreuses années ces fossiles marins dans les montagnes de l'Himalaya. Lui et son groupe ont répertorié tout un aquarium de la période mésozoïque. Les nénuphars fragiles, apparentés aux oursins et étoiles de mer actuels, se trouvent dans les parois rocheuses à plus de trois kilomètres au-dessus du niveau de la mer. Ammonites, bélemnites, coraux et plancton se retrouvent sous forme de fossiles dans les roches des montagnes (…)

   A deux kilomètres d'altitude, des géologues ont trouvé une trace laissée par la mer elle-même. Sa surface rocheuse en forme de vague correspond aux formes qui restent dans le sable des vagues à basse mer. Même du sommet de l'Everest, on trouve des bandes jaunes de calcaire, qui sont apparues sous l'eau à partir des restes d'innombrables animaux marins.

 

• En plus de l'Himalaya, de nombreuses découvertes ont été faites dans les Alpes, les Andes et les Montagnes Rocheuses. Ces découvertes comprennent des moules, des crustacés, des ammonites, ainsi que des traînées et des dépôts de schiste argileux contenant des fossiles marins. Certaines découvertes se situent à plusieurs kilomètres de hauteur. La description suivante des Alpes indique l'existence de fossiles marins :

 

Il y a une raison de regarder de près la nature originale des roches dans les chaînes de montagnes. On le voit mieux dans les Alpes, dans les Alpes calcaires du nord, dite zone helvétique. Le calcaire est le principal matériau rocheux. Lorsque nous regardons la roche ici sur les pentes abruptes ou au sommet d'une montagne - si nous avions l'énergie de grimper là-haut - nous finirons par y trouver des restes d'animaux fossilisés, des fossiles d'animaux. Ils sont souvent très abîmés mais il est possible de trouver des pièces reconnaissables. Tous ces fossiles sont des coquilles de chaux ou des squelettes de créatures marines. Parmi eux, il y a des ammonites à filetage en spirale, et surtout beaucoup de palourdes à double coquille. (…) Le lecteur pourrait se demander à ce stade ce que cela signifie que les chaînes de montagnes contiennent autant de sédiments, que l'on peut également trouver stratifiés dans le fond de la mer.(p. 236,237, Pentti Eskola, Muuttuva maa)

 

• Le calcaire couvrant près d'un quart de la Chine comprend des restes de coraux provenant de la mer (p. 97,100-106 « Maapallo ihmeiden planeetta »). Il existe également des zones similaires en Yougoslavie et dans les Alpes.

 

• Dans une carrière d'ardoise dans les montagnes Snowdon en Angleterre, il y a d'énormes couches de gravier et de sable pleines de coquilles de moules de rivage à environ 1 400 pieds au-dessus du niveau de la mer.

 

• Des lézards poissons ou Ichthyosaures, qui pouvaient mesurer jusqu'à plusieurs mètres de long, ont été trouvés en Angleterre et en Allemagne enfouis dans des couches d'argile avec leurs os et leur peau. L'un des squelettes, conservé dans la collection de l'Institut géologique de l'Université d'Helsinki, a été trouvé dans une pierre d'argile à Holzmaden de Wurttenberg. Il mesure 2,5 mètres de long et a été extrêmement bien conservé. (p. 371 "Muuttuva maa", Pentti Eskola)

 

• Dans le centre de la France (Saint-Laon, Vienne), des coquilles d'ammonites ont été trouvées dans le calcaire. (p. 365 "Muuttuva maa", Pentti Eskola)

 

• La zone calcaire de Solnhofen en Bavière abrite deux fossiles de l'oiseau lézard (Archaeopteryx). De la même zone calcaire, d'autres fossiles bien conservés, tels que des insectes, des méduses, des écrevisses, des bélemnites et des poissons ont également été trouvés. (p. 372, "Muuttuva maa", Pentti Eskola)

 

• Certaines zones de Londres, Paris et Vienne sont d'anciens fonds marins. Par exemple, certaines zones calcaires de Paris sont composées principalement de coquilles de mollusques des mers tropicales. (p. 377 "Muuttuva maa", Pentti Eskola)

 

• Dans les environs de Berlin, des couches de limon de plusieurs mètres d'épaisseur comprennent des coquilles d'un gastéropode éteint ( Paludina diluviana ) et des restes de brochets. (p. 410 "muuttuva maa, Pentti Eskola)

 

• Des régions comme la Syrie, l'Arabie, l'actuel Israël et l'Égypte ont été des fonds marins. (p.401, 402 "Muuttuva maa", Pentti Eskola)

 

• De vieux fossiles d'huîtres ont été trouvés en Tunisie, près de la ville de Tozeur. (p. 90 Björn Kurten, Comment Mammut est gelé )

 

• Dans le désert de Faijum à 60 kilomètres au sud-ouest du Caire, des restes de baleines et d'otaries ont été retrouvés sur les pentes d'une haute crête du Djebel Qatran. (p. 23 Björn Kurten, Jääkausi, [L'ère glaciaire])

 

• De nombreuses parties différentes du globe, des couches de fossiles de poissons ont été trouvées contenant des centaines de milliers ou des millions de poissons. Par exemple, dans les couches fossiles de hareng en Californie, on estime qu'il y a un milliard de poissons dans une zone de dix kilomètres carrés. Les régions de l'Allemagne à la mer Caspienne, l'Italie, l'Ecosse, le Danemark (dans la falaise de craie de Steven's Klint ) et le sud de l'Espagne (les collines de Caravaca) comprennent des couches de millions de fossiles de poissons. Toutes ces zones de terres arides doivent avoir été recouvertes par la mer, sinon ces découvertes de poissons ne seraient pas possibles.

 

• Les couches d'ardoise argileuse bien connues de Burgess, découvertes dans les montagnes Rocheuses en 1909, comprennent des dizaines de milliers de fossiles provenant de l'ancien fond marin, aujourd'hui à plus de 2 000 mètres d'altitude.

 

• Du nord-ouest de l'Australie (p. 96 Maapallo ihmeiden planeetta) et de la Nouvelle-Guinée, on trouve des coraux et des fossiles de poissons.

 

• Du continent nord-américain, des restes de baleines ont été trouvés à une grande distance de la mer. Ces découvertes ont été faites par exemple sur le lac Ontario, au Vermont, au Québec et au Saint-Laurent. Par conséquent, ces zones doivent avoir été couvertes par la mer à un moment donné dans le passé.

 

• De nombreux hauts lieux du monde – l'Himalaya et d'autres hautes montagnes – montrent des signes d'anciens littoraux et de l'action des vagues. Ces découvertes ont également été faites en Nouvelle-Guinée, en Italie, en Sicile, en Angleterre, en Irlande, en Islande, au Spitzberg, en Nouvelle-Semlja, au Pays de François-Joseph, au Groenland, dans de vastes zones d'Amérique du Nord et du Sud, en Algérie, en Espagne... la liste est longue. encore et encore. (Les informations proviennent principalement de Maanpinnan muodot ja niiden synty , p. 99 100 / par Iivari Leiviskä ).      

   Des rivages anciens ont également été découverts en Finlande et dans les régions voisines. Un exemple est Pyhätunturi, où il y a des pierres avec des signes de vagues. Des signes des anciens rivages peuvent également être trouvés sur les pentes de nombreuses collines. Dans le sud de la Finlande, ces endroits sont Korppoo, Jurmo, Kaunissaari à Pyhtää et Virttaankangas à Säkylä, ainsi que plus au nord, par exemple Lauhanvuori, Rokua et Aavasaksa. (Extrait du livre Jokamiehen geologia , p. 96 / de Kalle Taipale, Jouko.T. Parviainen)

 

• La lave a été trouvée sur les montagnes d'Ararat à une hauteur de 4 500 mètres au-dessus du niveau de la mer et ne peut être qu'un produit d'éruptions volcaniques sous-marines (Molen, M., Vårt ursprung?, 1991, p. 246)

 

• Un signe du déluge est les roches sédimentaires marines. Ils sont beaucoup plus communs que toutes les autres roches sédimentaires combinées. James Hutton, considéré comme le père de la géologie, faisait déjà référence à cette observation il y a plus de deux siècles :

 

Il faut en conclure que toutes les couches de terre (...) ont été formées par du sable et des graviers qui se sont accumulés sur le fond marin, des coquillages de crustacés et des matières coralliennes, de la terre et de l'argile. (J. Hutton, La Théorie de la Terre l, 26. 1785)

 

JS Shelton : Sur les continents, les roches sédimentaires marines sont beaucoup plus communes et répandues que toutes les autres roches sédimentaires combinées. C'est l'un de ces faits simples qui demandent une explication, étant au cœur de tout ce qui concerne les efforts continus de l'homme pour comprendre la géographie changeante du passé géologique.

 

LE SAVOIR TRADITIONNEL ET L'INONDATION . Nous n'avons pas besoin de rechercher des informations sur le Déluge uniquement dans la nature ; nous en trouvons la preuve dans les traditions de diverses nations. Il a été estimé qu'il y a près de cinq cents de ces histoires racontées par les cultures du monde entier. Beaucoup de ces histoires ont (naturellement) changé avec le temps, mais elles ont toutes en commun la mention de l'eau comme cause de dévastation. Beaucoup de ces histoires mentionnent également les bons moments passés, la chute de l'homme et la confusion des langues qui ont eu lieu à Babel (Babylone) - tous les événements que la Bible mentionne également.

   Les histoires se retrouvent chez des peuples très différents: les Babyloniens, les indigènes d'Australie, les Miao de Chine, les nains africains Efe, les Indiens Hopi d'Amérique dans la tribu nord-américaine des Padago et de nombreux autres peuples. L'universalité des récits du Déluge suggère l'historicité de cet événement : 

 

Environ 500 cultures - y compris les peuples autochtones de Grèce, de Chine, du Pérou et d'Amérique du Nord - sont connues dans le monde où les légendes et les mythes décrivent une histoire fascinante d'une grande inondation qui a changé l'histoire de la tribu. Dans de nombreuses histoires, seules quelques personnes ont survécu au déluge, tout comme dans le cas de Noé. Beaucoup de peuples considéraient que le déluge avait été causé par des dieux qui, pour une raison ou une autre, se sont lassés du genre humain. Peut-être que les gens étaient corrompus, comme à l'époque de Noé et dans une légende de la tribu amérindienne Hopi d'Amérique du Nord, ou peut-être y avait-il trop de gens trop bruyants, comme dans l'épopée de Gilgamesh. (2)

 

Lenormant dit dans son livre "Début de l'Histoire":

"Nous avons l'occasion de prouver que l'histoire du Déluge est une tradition universelle dans toutes les branches de la famille humaine, et une tradition aussi certaine et uniforme que celle-ci ne peut être considérée comme une fable imaginaire. Elle doit être la mémoire d'une histoire vraie et événement terrifiant, un événement qui a fait une si forte impression sur l'esprit des premiers parents de la famille humaine que même leurs descendants n'ont jamais pu l'oublier.(3)

 

Les peuples de différentes races ont des histoires patrimoniales différentes sur l'énorme catastrophe des inondations. Les Grecs ont raconté une histoire sur le déluge, et elle est centrée autour d'un personnage nommé Deukalion ; bien avant Christophe Colomb, les indigènes du continent américain avaient des histoires qui avaient entretenu le souvenir du grand déluge. Les récits d'une inondation ont été transmis de génération en génération jusqu'à ce jour également en Australie, en Inde, en Polynésie, au Tibet, au Kašmir et en Lituanie. Sont-ils tous juste des contes et des histoires? Sont-ils tous inventés ? Il est probable qu'ils décrivent tous la même grande catastrophe. (4)

 

Si le déluge mondial n'était pas réel, certaines nations auraient expliqué que d'effrayantes éruptions volcaniques, de grandes tempêtes de neige, des sécheresses (...) ont détruit leurs ancêtres maléfiques. L'universalité de l'histoire du Déluge est donc l'une des meilleures preuves de sa véracité. Nous pourrions rejeter n'importe lequel de ces contes comme des légendes individuelles et penser que ce n'était que de l'imagination, mais ensemble, d'un point de vue global, ils sont presque indiscutables. (La terre)

 

Ensuite, plus de références au même sujet. Les historiens du passé ont mentionné le Déluge comme un véritable événement historique. La réécriture de l'histoire d'aujourd'hui cherche plutôt à changer l'histoire passée humaine en niant cette grande inondation et en ajoutant des centaines de milliers et des millions d'années à l'histoire pour laquelle il n'y a pas de preuves très convaincantes.

 

• L'historien Josèphe et le Babylonien Bérose ont mentionné les restes de l'arche de Noé

• L'historien grec Hérodote a fait référence aux Scythes dans la cinquième partie de son Histoire. Il les mentionne comme descendants de Japhet (fils de Noé) (Gen 10:1,2: Voici les générations des fils de Noé, Sem, Cham et Japhet: et à eux naquirent des fils après le déluge. Les fils de Japhet ; Gomer, et Magog, et Madai, et Javan, et Tubal, et Méschec, et Tiras.)

• Dans l'histoire de Gilgamesh, Utnapisthim reçut l'ordre de construire un bateau : « Ô homme de Shuruppak, fils d'Ubar-Tutu. Démolissez votre maison et construisez un navire, renoncez à la richesse, cherchez l'au-delà, méprisez la richesse, sauvez votre vie. Emmenez la semence de tous les vivants sur le navire que vous construisez. Mesurez bien ses dimensions.

• Dans le récit des inondations assyriennes, il y a une description de la construction du navire :

 

Faire un navire selon ceci - -

- - Je détruirai le pécheur et la vie.

- - Laissez entrer la graine de vie, tout entière,

au milieu du navire, au navire que vous faites.

Sa longueur est de six cents coudées

et soixante coudées sa largeur et sa hauteur.

- - Laissez-le aller en profondeur. –

J'acceptai l'ordre et dis à Hea, mon Seigneur :

Quand j'ai fini

la construction navale que tu m'as dit de faire,

si jeunes et vieux se moquent de moi. (5)

 

• Les Aztèques ont fait référence au Déluge :

 

Alors que le monde existait depuis 1716 ans, le déluge est arrivé : « L'humanité tout entière a disparu et s'est noyée, et

ils ont remarqué qu'ils s'étaient transformés en poissons. Tout a disparu en un seul jour ». Seuls Nata et sa femme Nana ont été sauvés, car le dieu Titlachauan leur avait dit de construire un bateau à partir de cyprès. (6)

 

• Une tablette d'argile a été trouvée dans une ville babylonienne, Nippour, dans les années 1890, et la tablette était plus ancienne que l' épopée de Gilgamesh . La tablette d'argile remonte au moins à 2100 av. J.-C., car le lieu où elle a été trouvée, une bibliothèque publique, a été détruit à cette époque.

Sa représentation est très similaire à celle du Livre de la Genèse. Il mentionne la venue du Déluge et conseille de construire un grand vaisseau pour protéger les épargnés. Le texte de la tablette a été traduit par un assyriologue expert Herman Hilprecht. Les mots entre crochets ne se trouvent pas dans le texte, mais Hilprecht les a inclus en fonction du contexte :

 

(2) … [je supprime les limites du ciel et de la terre]

(3) … [Je provoquerai un déluge, et] il emportera tout le peuple à la fois ;

(4) … [mais cherche la vie avant que le déluge ne vienne ;

(5)……[Car sur tous les êtres vivants], autant qu'il y en aura, j'apporterai le renversement, la destruction, l'anéantissement

(6) … Construisez un grand navire et

(7) ... que la hauteur totale soit sa structure

(8) … que ce soit une péniche pour transporter les survivants.

(9) … avec un couvercle solide (it).

(10) … [Au bateau] que tu fais

(11) … [amenez-y les bêtes de la terre, les oiseaux du ciel,

(12) … [et les reptiles de la terre, une paire de chaque] au lieu d'une multitude,

(13) …et famille… (7)

 

• Quant à la chronologie de l'Égypte, elle peut être décalée de plusieurs siècles. Les Égyptiens n'avaient pas de listes de dirigeants au début, mais elles ont été compilées des siècles plus tard (vers 270 av. J.-C.) par le prêtre égyptien Manéthon. L'une des erreurs dans ses listes a été que Manethon pensait que certains rois avaient régné l'un après l'autre, même s'il a été constaté qu'ils avaient régné en même temps.

    Malgré tout, Manéthon confirme l'historicité de la Genèse. Il "a écrit qu'après le déluge à Ham, le fils de Noé, est né" l'Égypte ou Misraïm ", qui a été le premier à s'installer dans la région de l'Égypte actuelle au moment où les tribus ont commencé à se disperser". (8)

 

SYMBOLES LETTRE . Selon la Bible, lorsque Noé entra dans l'Arche, il n'y avait que sept autres personnes avec lui ; en tout, il y avait huit personnes dans l'Arche (Gen 7:7 et 1 Pierre 3:20).

   Cependant, il est intéressant de noter que le même chiffre huit et une référence claire au déluge apparaissent même dans les symboles des lettres, en particulier dans le système d'écriture chinois. Dans le système d'écriture chinois, un symbole de navire est un bateau avec huit personnes dedans, le même nombre que dans l'Arche de Noé ! Le symbole du mot « inondation » porte également le chiffre huit ! Ce ne peut être une simple coïncidence si le même nombre, huit, est associé aux symboles du navire et du Déluge. Cette connexion est certainement due au fait que les Chinois ont aussi une tradition préservée du même Déluge global que les autres peuples. Ils ont également cru depuis les temps anciens qu'il n'y a qu'un seul Dieu, qui est au ciel.

 

Le deuxième exemple. Le symbole chinois du navire est un bateau avec huit personnes à bord. Huit personnes ? L'Arche de Noé avait exactement huit personnes à l'intérieur.

   (…) Tous les chercheurs ne sont pas du même avis sur la signification exacte de chaque symbole. En tout cas, les Chinois eux-mêmes (comme beaucoup de Japonais, qui – pratiquement – ​​ont le même système d'écriture) sont intéressés par les interprétations que les missionnaires leur ont présentées. Même si les théories n'étaient pas justes, le simple fait d'en parler pouvait suffire à indiquer la vérité spirituelle pour les non-croyants.

   J'ai moi-même observé que de nombreux prédicateurs chinois et japonais pensent que ces différents symboles constituent une excellente porte d'entrée dans la pensée de leur peuple. (Don Richardson, L'éternité dans leurs cœurs)

 

Le mot juste . Dans le système d'écriture chinois, il y a aussi un autre symbole particulier : le mot « juste ». Le symbole du juste est composé de deux parties différentes : la partie supérieure signifie un agneau et en dessous se trouve le pronom personnel I . Par conséquent, il y a eu une opinion selon laquelle les gens ne peuvent pas être justes par eux-mêmes. Ils ne sont justes que lorsqu'ils sont sous l'agneau. Ainsi, le système d'écriture chinois enseigne les mêmes messages que le Nouveau Testament. Nous devons être sous l'Agneau qui nous est donné par Dieu (Jésus-Christ), afin que nous soyons rendus justes. Ceci est mentionné dans les versets bibliques suivants :

 

- (Jean 1:29) Le lendemain, Jean vit Jésus venir à lui, et dit: Voici l'Agneau de Dieu , qui ôte le péché du monde.

 

- (1 Co 1:30) Mais vous êtes de lui en Jésus-Christ, qui de Dieu nous a été fait sagesse, et justice , et sanctification, et rédemption

 

 

 

 

 

 

 

2. La naissance du carbone et du pétrole

 

 

CARBONE ET PÉTROLE . On nous apprend généralement que le carbone et le pétrole se sont formés par un processus lent qui a nécessité des millions d'années. On parle d'un âge du carbone, où une quantité exceptionnellement importante de carbone se serait formée. Mais qu'en est-il ? Ces substances sont-elles apparues il y a des centaines de millions d'années et ont-elles mis des millions d'années à se former ? Si on les regarde à la lumière des faits suivants, ils montrent plutôt qu'ils se sont formés rapidement et tout à fait 'dans un passé récent', il y a tout juste quelques millénaires et évidemment dans le contexte du déluge évoqué dans la Bible.

 

L'âge des gisements de carbone et des puits de pétrole. Le premier point est que les preuves de l'âge des gisements de carbone et de pétrole ne se réfèrent pas à de grandes périodes de temps. Nous en avons déjà parlé plus tôt et les deux points suivants le prouvent :

 

• La pression des puits de pétrole est si élevée (il est courant que du pétrole jaillisse dans l'air à partir d'un trou foré dans le sol), qu'ils ne peuvent pas avoir plus de 10 000 ans. (Chapitres 12-13 de Préhistoire et modèles terrestres par Melvin A. Cook, Max Parrish et compagnie, 1966). Si ces puits de pétrole avaient des millions d'années, la pression se serait dissipée depuis longtemps.

 

• Des empreintes humaines ont été trouvées dans des couches de carbone décrites comme "vieilles de 250 à 300 millions d'années" dans de nombreuses régions (Mexique, Arizona, Illinois, Nouveau-Mexique et Kentucky, entre autres). Des objets appartenant à un homme et des fossiles humains (!) ont été trouvés dans ces mêmes couches. Cela signifie que soit les humains habitaient la terre il y a 300 millions d'années, soit que ces couches de carbone n'ont en réalité que quelques milliers d'années. (Glashouver, WJJ, So entstand die Welt , Hänssler, 1980, ss. 115-6; Bowden, M., Ape-men – Fact or Fallacy? Sovereign Publications, 1981; Barnes, FA, The Case of the Bones in Stone, Désert/Février 1975, p. 36-39). Il est plus probable que cette dernière alternative soit vraie, car même les scientifiques ne croient pas que les gens habitaient la Terre il y a 300 millions d'années :

 

"Si l'homme (...) sous quelque forme que ce soit existait dès la période fer-carbone, toute la science géologique est si complètement fausse que tous les géologues devraient démissionner de leur travail et devenir chauffeurs de camion. Donc, au moins pour le moment, la science rejette l'alternative tentante selon laquelle l'homme aurait laissé ces empreintes." ( Le mystère carbonifère , Scientific Monthly, vol. 162, janvier 1940, p.14)

 

• La troisième raison de ne pas considérer les gisements de charbon et de pétrole comme vieux de plusieurs millions d'années est le radiocarbone qu'ils contiennent. Lorsque la demi-vie officielle du radiocarbone n'est que de 5730 ans, il ne devrait en rester aucun dans des dépôts vieux de millions ou de centaines de millions d'années. Cependant, dès 1969, la publication Radiocarbon mentionnait comment des échantillons de radiocarbone donnaient à des échantillons prélevés sur du charbon, du pétrole et du gaz naturel un âge au radiocarbone inférieur à 50 000 ans.

 

La vitesse de constitution. En ce qui concerne la formation de pétrole et de carbone, cela n'a pas besoin de prendre beaucoup de temps. Un soutien à cette théorie se trouve dans le fait que pendant la Seconde Guerre mondiale, le pétrole a été fabriqué à partir de charbon et de lignite en Allemagne, et avec succès. Cela n'a pas pris des éons, mais s'est produit en peu de temps. En utilisant une technologie différente plus récemment, un baril de pétrole a été produit en 20 minutes à partir d'une tonne de déchets organiques (Machine design, 14 mai 1970 ).

   Il a également été possible de transformer le bois et la cellulose en carbone ou en matériaux similaires au carbone en quelques heures seulement. Cela montre que lorsque les conditions sont réunies, le pétrole et le carbone peuvent se former assez rapidement. Il ne leur faut pas des millions d'années pour se former. Seules les théories sur l'évolution ont besoin de millions d'années. L'exemple suivant prouve que le charbon minéral peut se former en peu de temps, en quelques semaines seulement. L'auteur prouve que de tels événements auraient pu se produire rapidement, en lien avec le Déluge.

 

Les scientifiques du laboratoire national d'Argonne (aux États-Unis) ont prouvé que du carbone noir de première qualité peut être obtenu en utilisant la méthode suivante : prenez de la lignine (un ingrédient essentiel du bois) et mélangez-la avec de l'argile acide et de l'eau. Chauffer le mélange dans un récipient en quartz fermé sans oxygène à 150 ºC sans augmenter la pression. Ce n'est pas une température élevée du point de vue géologique - en fait, il n'y a rien d'exceptionnel ou de "non naturel" dans les ingrédients non plus. Le processus ne prend pas non plus des millions d'années – il ne prend que 4 à 36 semaines !

   (...) Le célèbre géologue australien Sir Edgeworth David a décrit dans son rapport de 1907 des troncs d'arbres calcinés encore debout qui ont été trouvés entre des couches de carbone noir à Newcastle (Australie). Les parties inférieures des troncs avaient été enfouies profondément dans la strate de carbone, puis les troncs ont traversé les strates au-dessus, pour finalement se retrouver dans la strate de carbone au-dessus !

 Pensez que les gens essaient d'expliquer ces choses en termes de processus lents qui se sont produits dans deux marécages séparés avec d'énormes périodes de temps entre eux. Quand le parti pris a été "développement lent et progressif", force est de constater que cela a empêché l'explication la plus évidente de l'origine du charbon, à savoir qu'un immense bouleversement naturel provoqué par l'eau a rapidement enseveli les centrales arrachées.

    L'eau en mouvement peut rapidement provoquer une énorme quantité de changements géologiques, surtout s'il y a beaucoup d'eau. La plupart des gens pensent que ces changements doivent prendre des millions d'années. (…)

    Certains géologues (dont beaucoup de ceux qui croient aux processus de « millions d'années ») disent maintenant que le Grand Canyon s'est formé de la même manière, de manière catastrophique, et qu'il n'a pas été créé par la lente érosion du fleuve Colorado sur des millions d'années. années.

    Le Déluge dura un an, couvrit les montagnes, provoqua des bouleversements planétaires et ravagea la croûte terrestre lorsque l'eau (et inévitablement aussi le magma) jaillit pendant des mois (« les sources du grand abîme jaillirent », Gn 7, 11). Une catastrophe aussi effrayante provoquerait une quantité incroyable de changements géologiques. (9)

 

Les preuves à l'appui de la formation à court terme. Les points suivants soutiennent fortement l'idée que le carbone et le pétrole ont été créés rapidement pendant le déluge, et non lentement sur des millions d'années :

 

• Des fossiles de troncs d'arbres pénétrant à travers différentes couches peuvent être trouvés au milieu des couches de carbone. Une vieille photo d'une mine de charbon en France montre comment cinq troncs d'arbres pénètrent une dizaine de couches. Ces fossiles n'auraient pas pu se former ou apparaître si les couches de carbone s'étaient formées sur des millions d'années.

 

• Une découverte intéressante est que dans de nombreux dépôts de carbone terrestres, on trouve des quantités importantes de dépôts de la croûte marine et de fossiles d'animaux marins ("Une note sur l'occurrence de restes d'animaux marins dans une boule de charbon du Lancashire", Geological magazine, 118:307 , 1981 et Weir, J. "Recent studies of shell of the coal measure", Science progress, 38:445, 1950).   De plus, des plantes qui ne poussent même pas dans les zones marécageuses ont été trouvées dans ces couches de carbone. Ces découvertes indiquent clairement le déluge, qui aurait transporté des animaux marins et d'autres formes de vie parmi les plantes trouvées sur la terre ferme.

 

Le professeur Price présente des cas où 50 à 100 couches de charbon se superposent et entre elles se trouvent des couches comprenant des fossiles de haute mer. Il juge cet élément de preuve si solide et convaincant qu'il n'a jamais essayé d'expliquer ces faits sur la base de la théorie de l'uniformité de Lyell. (Wiljam Aittala : Kaikkeuden sanoma , p. 198)

 

• Le carbone et le pétrole ne se forment plus naturellement de nos jours. C'est pourquoi on les appelle ressources naturelles non renouvelables. Ils ne se forment pas naturellement même dans les pays tropicaux, même si les conditions dans ces pays devraient être convenables. Au contraire, les plantes ne pourrissent que rapidement et aucune huile ou carbone n'est créé.

   La seule possibilité de production de charbon est une catastrophe naturelle qui recouvre soudainement les déchets végétaux sous les masses de sol, les laissant sous haute pression et dans un état sans oxygène, où l'oxygène ne peut pas les détruire. La haute pression et le mode sans oxygène ont été considérés comme essentiels pour la production de charbon. De plus, les bactéries ne peuvent pas décomposer les déchets végétaux dans un état sans oxygène. Le déluge, qui a empilé des masses de boue et de terre les unes sur les autres, peut mieux expliquer un tel événement. La citation suivante du livre "Muuttuva maa" (p. 114) du géologue finlandais Pentti Eskola fait référence à la même chose. Il indique que, en relation avec les veines de charbon, il y a des pierres d'argile qui ont été stratifiées à partir d'eau. La citation fait clairement référence au Déluge comme s'étant produit il y a seulement quelques milliers d'années :

 

"Sous et au-dessus des filons de charbon, il y a, comme on l'a dit, des couches régulières de pierre argileuse, et d'après leur structure, nous pouvons voir qu'elles ont été stratifiées à partir de l'eau."

 

 

 

3. La dévastation des dinosaures

 

Les gens croient généralement que la dévastation des dinosaures a eu lieu il y a des millions d'années au cours de la phase finale de la période du Crétacé, détruisant également les ammonites, les bélemnites et plusieurs autres espèces de plantes et d'animaux. On pense que la dévastation a emporté un grand nombre d'animaux de la période du Crétacé.

   Cette croyance est-elle vraie ? Les dinosaures ont-ils vraiment été détruits pendant la période dite du Crétacé il y a des millions d'années, ou ont-ils été détruits lors du Déluge ? Dans ce qui suit, nous explorerons cette question en considérant les théories les plus courantes qui ont été avancées :

 

Les dinosaures ont-ils été détruits par une épidémie, un virus ou des voleurs d'œufs ? Certaines personnes pensent que les dinosaures ont été détruits par une épidémie ou un virus. D'autres pensent que d'autres animaux ont soudainement commencé à manger des œufs de dinosaures.  

   Cependant, il y a un gros problème avec les deux théories : aucune n'explique comment d'autres plantes et animaux - plésiosaures, ichtyosaures, ptérosaures, plantes, ammonites herbivores et bélemnites - auraient pu mourir en même temps. (Les ammonites et les bélemnites sont des animaux marins dont les fossiles ont été trouvés entre autres sur les pentes des Alpes et de l'Himalaya.) Pourquoi ces autres espèces sont-elles mortes en même temps ? Les virus ne peuvent certainement pas être le tueur ; comment des virus peuvent-ils détruire des espèces tout à fait différentes, des animaux marins et terrestres, voire des végétaux ? De tels virus ne sont pas connus.

   Quant aux mangeurs d'œufs, ils ne peuvent pas non plus expliquer la destruction simultanée de plusieurs espèces différentes, sans parler des plantes. Ils ne pouvaient pas causer la destruction et l'extinction à grande échelle de différentes espèces en même temps. Il doit y avoir une meilleure explication à cela.

 

Une météorite a-t-elle été la cause de la dévastation ? Certaines personnes pensent qu'une météorite a soulevé un énorme nuage de poussière, et que ce nuage de poussière a bloqué le Soleil pendant si longtemps que toutes les plantes sont mortes et que les herbivores sont morts de faim.

   Il y a cependant un problème avec cette théorie d'un changement lent du climat. Cette théorie, ou les théories mentionnées ci-dessus, ne peuvent pas expliquer comment des fossiles de dinosaures peuvent être trouvés à l'intérieur des roches et des montagnes dans de vastes régions du globe. Ils peuvent être trouvés dans le monde entier à l'intérieur de hard rock, ce qui est vraiment étrange. C'est étrange car tout gros animal - peut-être 20 mètres de long - ne peut pas pénétrer à l'intérieur d'une roche dure. Le temps n'aide pas non plus. Même si nous attendions des millions d'années pour que ces animaux soient enfouis dans le sol et se transforment en fossiles, ils pourriraient avant que cet animal ou d'autres animaux ne les mangent. En fait, chaque fois que nous voyons un fossile de dinosaure ou d'autres fossiles, ils doivent avoir été enterrés rapidement sous la boue et la boue. Ils ne peuvent être nés autrement :

 

Il est évident que si la formation des dépôts avait lieu à un rythme aussi lent, aucun fossile ne serait produit, car ils ne seraient pas enfouis dans les sédiments, mais avant cela, ils se décomposeraient sous l'influence des acides de l'eau, ou être détruits et brisés en morceaux alors qu'ils se frottaient et se heurtaient au fond des mers peu profondes. Ils ne peuvent être recouverts de sédiments que lors d'un accident, où ils sont soudainement ensevelis. ( Géochronologie ou l'âge de la Terre sur la base des sédiments et de la vie , Bulletin du Conseil national de recherches n° 80, Washington DC, 1931, p. 14)

 

La conclusion est que ces dinosaures, que l'on trouve dans le monde entier, ont dû être ensevelis très rapidement sous des dépôts de boue et de vase. De la boue molle les a d'abord recouvertes, puis a durci de la même manière que le ciment. Ce n'est qu'ainsi que la genèse des fossiles de dinosaures, de mammouths et d'autres animaux peut être expliquée. Dans le déluge, une telle chose pourrait certainement arriver. On regarde la description, qui donne une idée correcte du problème. Il montre la découverte de dinosaures à l'intérieur de roches dures, indiquant qu'ils ont dû se couvrir de boue molle. La boue s'est alors durcie autour d'eux. Ce n'est que dans le déluge, mais pas dans le cycle naturel normal, que nous pourrions nous attendre à ce que quelque chose comme ça se produise (il y a aussi une référence dans l'écriture à la façon dont les tourbillons d'eau peuvent avoir empilé des os de dinosaures).

 

Il est allé dans les déserts du Dakota du Sud, où il y a des parois rocheuses et des rochers aux couleurs vives rouges, jaunes et oranges. En quelques jours, il a trouvé des os dans la paroi rocheuse , qu'il a estimé être le type qu'il avait entrepris de trouver. Quand il a creusé la roche autour des os , il a constaté que les os étaient dans l'ordre de la structure de l'animal. Ils n'étaient pas en tas comme le sont souvent les os de dinosaures. Beaucoup de ces tas étaient comme s'ils étaient faits par un puissant tourbillon d'eau.

   Or ces ossements étaient dans le grès bleu, qui est très dur . Le grès a dû être enlevé avec une niveleuse et enlevé par dynamitage. Brown et ses acolytes ont creusé une fosse de près de sept mètres et demi de profondeur pour extraire les os. L'enlèvement d'un gros squelette leur a pris deux étés. Ils n'ont en aucun cas enlevé les os de la pierre. Ils ont transporté les rochers par chemin de fer jusqu'au musée, où les scientifiques ont pu ébrécher la pierre et mettre en place le squelette. Ce lézard tyran se trouve maintenant dans la salle d'exposition du musée. (p. 72, Dinosaures / Ruth Wheeler et Harold G. Coffin)

 

 

 

 

 

REFERENCES:

 

1. J.S. Shelton: Geology illustrated

2. Kalle Taipale: Levoton maapallo, p. 78

3. Toivo Seljavaara: Oliko vedenpaisumus ja Nooan arkki mahdollinen?, p. 5

4. Werner Keller: Raamattu on oikeassa, p. 29

5. Arno C. Gaebelein: Kristillisyys vaiko uskonto?, p. 48

6. Francis Hitching: Arvoitukselliset tapahtumat (The World Atlas of Mysteries), p. 165

7. siteeraus: Luominen 17, p. 39

8. J. Ashton: Evolution Impossible, Master Books, Green Forest AZ, 2012, p. 115, lainaa viitettä 1, p. 7

9. Carl Wieland: Kiviä ja luita (Stones and Bones), p. 12-14

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

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